Écrire le plus difficile
Déposer. Reconnaître le vécu. Raconter. Témoigner. Soutenir.
Il existe une facette de l’écriture biographique que j’aborde moins souvent, c’est le besoin d’écrire une épreuve ou une période douloureuse. Pour vous ou pour en témoigner, pour la faire connaître, pour apporter un soutien à d’autres que vous.
Car certains partent trop tôt et c’est alors la perte, le deuil qui surgissent.
Car les souvenirs ne sont pas toujours tendres.
Car la santé n’est pas un dû, il arrive que la maladie frappe à la porte.
Dans ce cas, parfois, écrire est un exutoire.
Le conseil, l’écoute, la confidentialité
Les bienfaits de l’écriture ne sont plus à démontrer. Apaisement, reconnaissance de votre vécu, prise de conscience de votre parcours et de ce que vous avez réalisé en sont des exemples.
Mais je ne vous mènerai pas sur une route que je ne peux pas suivre avec vous, celle de la psychanalyse. Même si, parfois, la rédaction de votre récit de vie accompagne un travail avec un thérapeute, je ne suis pas celui-ci. Mon rôle est tout autre.
Je vous écoute.
Je vous pose les questions nécessaires à l’écriture de votre récit. Sans indiscrétion, mais avec bienveillance et respect — mots d’une importance capitale, dont je regrette une utilisation que je trouve parfois galvaudée —, avec recul aussi.
Et j’écris pour vous votre histoire.
En toute confidentialité, toujours.
Inktober 2024
Inktober est un défi autour du dessin créé par Jake Parker en 2009. Il a été par la suite élargi à l’écriture, et c’est dans ce cadre que j’ai décidé de m’y prêter en 2024, sans pression, juste pour le plaisir.
Le principe : 1 jour, 1 mot, 1 texte. Chaque jour d’octobre.
Jour 27 : route.
Mon choix : une écriture spontanée. Les titres ont été ajoutés pour le blog.
Crédit photo : 3iphotographie, Metz